C’est Jules Rouget et ses confrères qui le disent

Un livre passionnant

Thomas Sertillanges est un « Tintinophile » averti. Il nous fait découvrir toute l’histoire de la famille du capitaine et nous raconte, par le menu, la vie quotidienne de Haddock, Tintin et Tournesol à Moulinsart. Entre vraies références historiques et culture sans faille des vingt-quatre albums des aventures du célèbre reporter, son livre est passionnant. A la recherche des sources d’inspirations de Hergé, on redécouvre ravi des souvenirs de lecture qui remontent à l’enfance. Et l’on se dit que l’on rouvrirait bien un de ces albums. Ne peut-on les lire de sept à soixante-dix sept ans ?

Xavier Houssin

Point de Vue

Un pavé dans la marre !

Pour Thomas Sertillanges, la fiction n’est qu’un absurde faux-semblant. Un miroir déformant d’une drôle de réalité qui ne peut être que tangible. Preuve à l’appui, il s’attache à démontrer que Tintin est un être de chair, d’os et d’esprit. D’ailleurs, inutile d’en douter, car seul celui qui croit à l’existence de l’homme la houppette a le droit de franchir les portes du château. (…) Cette révélation n’est toutefois pas le seul pavé que Thomas Sertillanges s’applique à lancer dans la mare. Tout au long de son ouvrage, l’auteur analyse, dissèque, explique. Pour le plus grand plaisir du lecteur qui n’est jamais au bout de ses surprises.

Bertrand Duchet

Spécial Dernière

Un livre parfait pour les vacances

Tintin existe et Hergé est son biographe ! Tel est le postulat de départ de ce livre tout à fait amusant et qui donne une existence de chair et de sang au héros si cher au cœur de millions de lecteurs de tous âges.

Courrier Français

Un livre plein d’humour et de fantaisie

La République des Pyrénées

La dernière histoire de Tintin

Entre le rêve et la réalité, Thomas Sertillanges n’a pas choisi ; ou plutôt, il a fait un tiers choix, celui de les unir en un bouquet odorant et gracieux qu’il offre au lecteur. (…) Le génie de Sertillanges est d’avoir chipé au fil des tous les albums des détails, ces petites choses insignifiantes que n’importe que le lecteur enregistre sans vraiment s’en rendre compte et ne retient pas. Voilà tout simplement pourquoi les tintinologues amateurs que nous sommes remercient cet auteur : grâce à lui nous avons découvert un mode d’existence que l’on ne connaissait pas et de fait une nouvelle et ultime histoire de Tintin.

Michel Rivet-Paturel

Loire Matin Progrès

Tintin en chair et en os

Thomas Sertillanges est prêt à vous parier une dépanneuse Simoun contre une boîte de cigares fourrés d’opium, un « Peary » contre un « Karaboudjan », un lot de cannes contre une bouteille de rhum vieille de deux cent cinquante ans que le petit reporter n’est pas une créature de papier mais un individu de « chair, d’esprit et d’os dont le prétendu inventeur fut en réalité le confident privilégié chargé de dessiner les aventures qui lui étaient confiées. (…) Pourfendant tous les esprits forts d’une œillade ironique, Thomas Sertillanges s’amuse à prendre les albums comme des documents incontestables dont une recherche rigoureuse devra confirmer ou compléter les données.

Michel Grodent

Le Soir

Un livre passionnant qui nous entraîne presque de force dans les 24 albums des aventures de Tintin.

L’Echo du Centre

Journaliste et châtelain

Thomas Sertillanges connaît Tintin comme un vieux frère. (…) La vie quotidienne à Moulinsart est un livre délicieusement bizarroïde où la réalité d’Hergé est confrontée à la réalité tout court.Quand on croit avoir tout lu et tout dit sur ce personnage de bande dessinée qui n’est donc pas un personnage de bande dessinée, il reste encore cet ouvrage où l’on suivra à la loupe la topographie des lieux d’attache de Tintin et de ses proches.

Sébastien Ministru

Télémoustique

Le vrai Tintin est démasqué

A la lecture du roman – en béton – de Thomas Sertillanges la clarté éclate enfin ! Le capitaine Haddock, Tryphon, Castafiore, Nestor… existent tous. (…) Thomas Sertillanges signe ici un ouvrage étonnant, rempli de note qui accréditent ses propos. Mais comment a-t-on pu rester aussi longtemps aveugle ! C’est le capitaine Haddock qui devait bien rire en nous voyant comme des bachi-bouzouks, des moujiks, incapables de comprendre la réalité. L’un des plus beaux hommages rendus à Hergé, à son œuvre et à ses amis, Tintin, Haddock, Milou…

Hubert Leclercq

Dernière Heure

Tintin a-t-il vraiment existé ?

Branle-bas de combat chez les tintinophiles ! Leur héros, ce jeune reporter, dont le général de Gaulle avait dit qu’il était son seul rival international, aurait bel et bien existé ! Qu’est-ce à dire . Le célèbre globe-trotteur en culottes de golf n’aurait pas été créé par Georges Remi, alias Hergé, en 1929 ? Mais de qui se moque-t-on mille sabords ? « De personne, nous rassure Thomas Sertillanges, tintinophile averti, monsieur très sérieux, auteur de « La vie quotidienne à Moulinsart », un livre audacieux. Je m’appuie sur l’Histoire avec un grand H, via la saga de la famille Haddock et de son château, pour prouver qu’en matière de fiction, il faut parfois se méfier des apparences »

Gwénola Trouillard

Télé-Loisirs.

Tintin, un simple héros de bande dessinée ?

Pensez donc ! L’auteur, Thomas Sertillanges, nous le garantit, Tintin a bien existé « réellement », et Hergé fut son biographe. On assiste donc à la vie quotidienne de ce petit homme hors du commun en compagnie de ses amis, le professeur Tournesol, les Dupondt… La description de l’exitence « quasi domestique » vécue au château de Moulinsart !

La Voie du Livre

Moulinsart par le menu

Hergé biographe de Tintin ? La relecture de son oeuvre à cette lumière pour le moins originale régalera « tintinophiles » et haddockophiles » qui, depuis 1930, cherchent le secret de cette recette magique qui rend leur jeunesse aux lecteurs de 77 ans.

VSD

Un commentaire pour "C’est Jules Rouget et ses confrères qui le disent"

  1. Bonjour et tout d’abord Bravo ! Votre ouvrage est tout simplement superbe et très riche : vos interprétations vont à l’essentiel et livrent un beau regard sur l’œuvre de Georges Remi. Pour ma part, il y a toujours eu une case qui m’a fascinée dans les Bijoux de la Castafiore : page 51, 5ème vignette : Tintin découvre plus qu’intrigué un piano sans son pianiste où les gammes résonnent pourtant à répétition. Magie du faux-semblant, art de la scène, piège sonore traduit sur le papier en un relevé typographique, Hergé faisait décidément très fort. Car on les entend ces notes, familières, chez ce pauvre Wagner qui n’en peut plus de “jouer” les pianistes accompagnateurs de la diva….

    Je trouve cette figuration d’une audace extraordinaire: par cette fenêtre à gauche arrive le héros. Le monde extérieur et donc le réel est derrière lui à présent, voilà qu’il pénétre dans l’univers du simulacre et des apparences bien trompeuses. Dans la salle, il n’y a qu’un piano qui attend, préoccupant, habitant presque exclusif, et le jeune homme l’aborde avec méfiance comme pris au piège d’un méchant mécanisme. En seulement trois cases, il s’agit d’une véritable parade entre l’homme et ce qui devient une machine d’harmonie. Lorsqu’enfin le héros retourne vers la fenêtre pour retirer l’échelle, la machine imperturbable continue d’émettre les sons identiques. Des sons qui ne cesseront qu’au crépuscule, page 53….
    N’est-ce pas là que réside tout l’art de Hergé à éduquer notre regard en même temps que troubler notre perception et en bouleverser la logique interprétative ?